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Tuesday, September 25, 2018

Clémence Thoulier, French Serial Baby-Killing Mom - 1935


FULL TEXT (Translated): This morning the gendarmie of Mayenne went to Saint-Denis-d'Anjou to investigate the acts of an odious monster. It was said that a woman had over several years slaughtered her four newborns.

The gendarmes interrogated the culprit, the widow Thoulier [Clémence Thoulier, 34], tenant of Mr. Auguste Bigot, a landowner in Miré, operator of the farm of the Meadows, commune of Saint-Denis-d'Anjou. The woman began by declaring that she had been a viable mother of a child at the beginning of the current year. After having slaughtered the infant, she deposited the body in a pit which she had previously dug in her garden.

Pressed with questions she finally confessed that in 1931, in 1933 and in 1934, she had acted likewise with three other newborns. After stifling them, she buried them in the same place.

The prosecutor’s office, assisted by the gendarmes, following a search discovered the remains of the little corpses.

Mr. Bigot, owner of the widow Thoulier, who was also her lover, was questioned in his turn and his guilt in this case was established.

He was also charged with murderer at placed in the Cacaudière prison in Laval.

[“Four Times A Woman Strangles Her Newborns” (“Quatre fois une femme avait étranglé ses nouveau-nés”) Journal du Loiret (Orleans, France), Aug. 9, 1935, p. 1]

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FULL TEXT (translated from French): An anonymous letter last days warned the gendarmes of Bierné (Mayenne) that a woman living in a neighboring town, St-Denis-d’Anjou, had successively disappeared several of his newborn children.

The investigation would quickly show that the charge was well-founded. The criminal mother killed four children in four years. She is a widow, Thoulier’s wife, born Clémence Bonaventure, 34 years old. She lived in the small farm in Pré, a few kilometers from the village of Saint-Denis-d’Anjou. A cowherdess, she watched the cattle of a land belonging to an owner, agricuitural commune of Miré (Maine-et-Loire), Auguste Bigot, 48 years old. The latter came from time to time to see his oxen and several times was tempted by the robust charms of his servant. Four times he made her a mother: in December 1931, in February 1933, in April 1934, last May; four times the wretch choked or strangled her children. She buried them, three in a courtyard and one in the garden adjoining the farm, not without taking care to make small coffins with slates.

She even went, by a strange unconsciousness, to deposit flowers on the tombs she had dug. It was, moreover, on the Ogress’s own indications that the little corpses were to be discovered.

After that, widow Thoulier had only to make a full confession, but she also declared that Bigot was aware of his crimes and that he had even given him advice to extirpate, before long, the fruit of their pastoral love.

Although he denied these claims, even pretending that he was unaware of the pregnancies of his maid, he was arrested at the same time as this one.

["A woman suffocated or strangled her children from birth - After confessing her crimes, she was arrested, along with her boss," La Charente (Limoges, France), August 10, 1935, p. 2]

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FULL TEXT: Rennes, 8, août. – La gendarmie de Mayenne se rendait ce matin à Saint-Denis-d’Anjou pour enquêter sur les agissements d’un odieux monstre. On disait en effet d’une femme avait égorgé pendent quelques années successives ses quatre nouveau-nés.

Les gendarmes interrogerent la coupable, Mme veuve Thoulier [Clémence Thoulier, 34], locataire de M. Auguste Bigot, propriétaire à Miré, exploitant la ferme des Prés, commune de Saint-Denis-d’Anjou. La femme commença par déclararer qu’elle avait été mere d’in enfant né viable au début de l’année courante. Après l’avoir égorgé, elle était aliée déposer le corps dans une fosse qu’elle avait préalablement creusée dans son jardin.

Pressée de questions elle finit par avouer qu’en 1931, en 1933 et en 1934, elle avait agi de mème pour trois autres nouveau-nés. Après les avoir étouffés elle les avait enterrés au même endroit.

Le parquet averti, aidé des gendarmes, retrouva aprés quelques recherches les débris des petits cadavres.

M. Bigot, propriétaire de la veuve Thoulier, qui était également son amant, a été interrogé à son tour et sa culpabilité en cette affaire a été établie.

Il a été écroulé ainsi que la meurtrière à la prison de Cacaudière, à Laval.

[“Quatre fois une femme avait étranglé ses nouveau-nés,” Journal du Loiret (Orleans, France), Aug. 9, 1935, p. 1]

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FULL TEXT: Une lettre anonyme avisait ces jours derniers les gendarmes de Bierné (Mayenne) qu’une femme habitant une commune voisine, St-Denis-d’Anjou, avait fait disparaître successivement plusieurs de ses enfants nouveaux-nés.

L’enquête allait démontrer rapidement que l’accusation était fondée.  La mère criminelle a tué, en quatre ans, quatre enfants. Il s’agit d’une veuve, la femme Thoulier, née Clémence Bonaventure, 34 ans. Elle habitait la petite ferme du Pré, à quelques kilomètres du bourg de Saint-Denis-d’Anjou. Vachère, elle surveillait les bestiaux d’un herbage appartenant à un propriétaire, agricuitem de Miré (Maine-et-Loire), Auguste Bigot, 48 ans. Celui-ci venait de temps à autre voir ses bœufs et plusieurs fois se laissa tenter par les charmes robustes de sa domestique. Quatre fois il la rendit mère: en décembre 1931, en février 1933, en avril 1934, en mai dernier; quatre fois la misérable étouffa ou étrangla ses enfants. Elle les enterra, trois dans une cour et un dans le jardin attenant à la ferme, non sans prendre soin de fai- re des petits cercueils avec des ardoises.

Elle allait même, par une inconscience étrange, déposer ensuite des fleurs sur les tombes qu’elle avait creusées, C’est d’ailleurs sur les propres indications de l’ogresse qu’on de-vait découvrir les petits cadavres.

Après cela, la veuve Thoulier n’avait plus qu’à faire des aveux complets, mais elle a aussi déclaré que Bigot était au courant de ses crimes et qu’il lui avait même donné des con- seils pour faire disparaître, avant terme, le fruit de leurs champêtres amours.

Bien qu’il ait nié, allant même jusqu’à prétendre qu’il n’était pas  au courant des grossesses de sa domestique, il a été arrêté en même temps que celle-ci.

[“Une femme étouffait  ou étranglait ses enfants  dès leur naissance - Après avoir avoué ses crimes,  elle a été arrêtée, ainsi que son patron,” La Charente (Limoges, France), 10 Aout 1935, p. 2]

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Clémence Thoulier (née Bonaventure), 34, Château-Gontier.

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For more cases of this type, see Serial Baby-Killer Moms.

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[209-1/14/21]
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